Dans la Revue What is enlightenment ? de septembre-décembre 2006, on lit un compte rendu critique de Ross Robertson du livre Open to the source de Douglas Harding :
Open to the source thoughtfully captures Harding's methodes and philosophy, which he named the "headless Way" after his initial life-altering insight. It also showcases his flair for creative wordsmithery as, page after page, he marvels at the depths of that consciousness beyond time and space with unusual warmth, novelty and precision. Yet the spiritual shine that glimmers through Harding's meditation starts losing some its luster as he applies it to the complex questions and challenges of life in the world of time and space. For example : "It is unnecessary...,"he writes,"to worry about what to say or do, or think or feel : the fitting expression of First Personhood occurs as a matter of course, spontaneously.... When they are really required, the rigth things are done." This common idea about enlightenment - then an always appropriate response to life will automatically result from the experience of mystical or non-dual states - may be true in some cases, but as a blanket teaching, it is problematic. In the postmodern era, we've discovered that one's interpretation of those higher states - and thus, how one expresses them in action - is always dependent of the degree of one's development and filtered through the many layers of one's historical and cultural conditioning. In this respect, there is much more to spiritual liberation in the twenty-first century than eperiencing mystical oneness, staying in the present moment, end then just letting the rest flow naturally.
That being said, Harding himself is still brimming with vitality ans inspired conviction at almost a hundred years old - no small feat, and no small testament to the kind of irrepresible strength that pours fourth from those who dare to venture into that trackless territory which lies forever beyond the mind."
Nous traduisons ces propos :
Open to the source rend compte judicieusement des méthodes et de la philosophie de Harding qu'il a appelé la "Vision Sans Tête" d'après son changement fondamental de perspective de vie. Cet ouvrage met en valeur son sens du maniement créatif des idées si bien que page après page on s'étonne de la profondeur de cette conscience au-delà du temps et de l'espace avec une inusuelle chaleur, nouveauté et précision. Cependant le rayonnement spirituel qui luit à travers les méditations de Harding commence à perdre un peu de son brillant lorsqu'il l'applique à la question complexe de la vie dans le monde du temps et de l'espace. Par exemple : "il n'est pas nécessaire...", écrit-il, "de se soucier quoi penser, quoi faire ou que ressentir : l'expression appropriée de la première personne advient, en ce qui concerne le comportement, spontanément.... Quand elles sont vraiment requises, les choses justes sont faites." Cette idée courante à propos de l'éveil - qu'une réponse toujours appropriée à la vie résultera (automatiquement) de l'expérience mystique ou des états non-duels - peut être vraie dans certains cas, mais comme un enseignement au sens général, c'est problématique. A l'époque postmoderne, nous avons découvert que l'interprétation par celui qui éprouve ces états plus élevés - c'est-à-dire comment celui-ci entend les exprimer dans l'action- est toujours dépendante du degré du développement de celui [qui les vit] et est filtrée à travers les nombreux niveaux du conditionnement culturel et historique de celui-ci. Fidèle à cette approche, il y a beaucoup plus de libération spirituelle en ce 21e siècle que d'expérience mystique de l'Unique se tenant dans l'instant présent et s'accordant naturellement à son mouvement tranquille.
Ceci étant dit, Harding lui-même est encore débordant de vitalité et de conviction inspirée pour un quasi centenaire - ce n'est pas une petite prouesse et un témoignage mineur au service de cette sorte de force irrépressible qui pousse en avant ceux qui osent tenter l'aventure dans ce territoire sans chemin qui s'étend pour toujours au-delà de la pensée.

Nous devons considérer pour répondre à cette question deux modèles sous-jacents au jugement de Ross Robertson dans l'article précédent :
- Le premier modèle est un résumé de la spirale dynamique de Clare Grave réaménagée par Don Beck et à la quelle se réfère souvent le mouvement intégraliste néo-wilberien (avec qui Don Beck collabore et s'identifie) :
LES NIVEAUX EN SPIRALE DES CODES CULTURELS DES SYSTEMES DE VALEURS HUMAINS
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vMEMES | COLOR | THEME | CENTRAGE [focalisation] | PENSEE | SYSTEMES DE VALEURS—STYLES DE VIE ELEMENTAIRES |
Niveau 8 | Turquoise | WholeView | Nous | Holistique | Harmonie et Holisme, Vit pour la Sagesse |
Niveau 7 | Jaune | FlexFlow | Moi | Systémique | Processus Naturels d'Ordre & Changement, Vit pour la Mutualité |
Niveau 6 | Vert | HumanBond | Nous | Humaniste | Égalité et Lien Humain Social, Vit pour l'Harmonie |
Niveau 5 | Orange | StriveDrive | Moi | Matérialiste | Succes et Gain Matériel, Vit pour le Gain |
Niveau 4 | Bleu | TruthForce | Nous | Absolutiste | Autorité, Stabilité, "Une seule bonne Façon", Vit pour plus tard |
Niveau 3 | Rouge | PowerGods | Moi | Égocentrique | Pouvoir, Gloire, Exploitation, Pas de Limites, Vit pour Maintenant |
Niveau 2 | Violet | KinSpirits | Nous | Animiste | Mythes, Ancêtres, Traditions, Les Nôtres, Vit pour le Groupe |
Niveau 1 | Beige | SurvivalSense | Moi | Automatique | Rester en Vie, Réactif, Survie Basique, Vit pour Survivre |
- Le second est issu d'un dialogue entre Ken Wilber et Allan Combs (il est adapté par nos soins) :

Autre exemple, s'agit-il du même niveau spirituel entre un samouraï japonais, Seigneur de guerre d'un monde féodal qui utilise la mort à soi du zen pour parachever sa libération face aux risques de mort durant le combat et un gandhiste qui détaché de son corps considère l'impact d'une action non-violente en vue d'obtenir justice ? Le samouraï est au moins rouge et tout au plus bleu même si pour atteindre son but, il peut expérimenter une forme de conscience témoin du point de vue de laquelle il sait qu'il n'est pas son corps. Un ghandiste pourrait être orange en revendiquant la rationalité de sa position qui considère toute violence comme le prélude au meurtre que pourtant les sociétés réprouvent. Il pourrait être vert pluraliste estimant la violence comme une négation de la différence.
Pour situer l'expérience dont il est question avec Douglas Harding nous devons donc examiner ce qui de façon implicite ou explicite le situe dans ce schéma de développement. Mais aussi en quoi sa démarche elle-même interroge le mouvement intégral néo-wilberien.
Tout d'abord on remarquera que bien avant Ken Wilber Douglas Harding a souligné la complémentarité de la connaissance intérieure (la science-1 en première personne) avec la science usuelle (la science-3 en troisième personne). Douglas reconnaissait l'évolution de l'univers et du point de vue intérieur, il insistait sur la conscience de l'auto-création du tout en première personne.
Ainsi en mettant les divers schémas de Harding dans les quadrants de Ken Wilber, on constate juste une absence de réflexion sur l'évolution des divers types d'organisations collectives humaines :


Tout d'abord, il nous libère de l'esprit de clan [mème violet]. Il donne au mème rouge sa noblesse authentique. Il révèle que le mème bleu n'est peut-être pas si autoritaire qu'on a voulu le dire : du point de vue de l'évolution de la conscience, il est holarchique. En effet il relie le microcosme et le macrocosme, il induit que le monde humain devrait s'accorder aussi dans une conscience unissant le tout et la partie dans un ordre ouvert. Le symbole ici ne déchoit pas : la raison peut l'expliciter sans procéder à une démythologisation. Douglas Harding est friand d'ailleurs des symboles et des allégories dans son enseignement mais jamais il ne succombe à la mythologie et à ses approximations qui exigent pourtant la conviction.
La vision de ces mèmes qu'en donne la Vision Sans Tête confirme l'hypothèse que le mème rouge et le mème bleu dont parle la spirale dynamique sont des figures dégénérées de mentalités plus parfaites. Dans d'autres postes de blog nous avons d'ailleurs suggéré à la suite de Sri Aurobindo ou de Kireet Joshi que les Seigneurs de guerre féodaux ou les monarchies absolues sont certainement des dégénérescences historiques d'une systémique hiérarchique parfaite initiale (holarchique au sens de Ken Wilber). Les constats issus de la confrontation de la Vison sans Tête avec la Spirale Dynamique appuient implicitement donc notre propre hypothèse développementale inspirée de la vision intégrale de l'évolution des mentalités selon Sri Aurobindo, Mère, Satprem ou encore Kireet Joshi :
Car au-delà de ces langages symboliques ou mythologiques, le langage rationnel est plus explicite : il s'agit de mener une démarche expérimentale scientifique où l'individu se plie à des observations issues d'un certain dispositif en vue d'éprouver des théories [mème orange]. Là où la raison implique un changement d'idée habituellement suite à un déplacement de perspective théorique, ici, elle implique une transformation de soi par acceptation immédiate du donné perceptif. Ce donné est à la fois subjectif et universel : il s'inscrit bien à la suite des Lumières que Descartes a ouverte en posant son "je pense donc je suis". Chez Douglas Harding le "je suis" est lié à un "je perçois" plus qu'à un constat d'activité de pensée. Par ailleurs pour Douglas Harding, il n'est pas d'autre "je suis" à vrai que celui qui se constate par ici :

L'intersubjectivité est donc une expression d'une conscience unique qui se pluralise en multiples individualités. Avec Douglas Harding, il n'y a pas de frontière sociale, culturelle ou raciale. Il est un des pionniers du dialogue entre les religions : son livre Les religions du monde nous livre les fruits de sa recherche. Ceci est lié à la mentalité pluraliste qui a nettement émergé dans les années 1960 dans les pays occidentaux [mème vert]: l'accueil de la différence est donc nécessaire pour approfondir sa vision en Première Personne. Être donné à son individualité par la Première Personne suspend tout souci touchant la survie : la Première Personne n'a pas souci du lendemain et elle appelle l'individu qui se relâche en elle à vraiment s'abandonner à sa providence dès lors que celui-ci a exercé sa raison au mieux.


Il ressort ainsi des propos de Douglas Harding confrontés à ceux de Ken Wilber que l'intégration de son approche au mouvement intégral n'est guère problématique : le niveau de mentalité requis pour faire une expérience approfondie de la vision sans tête semble au moins implicitement celui du mème turquoise. D'ailleurs, pour creuser les divers aspects de la conscience en Première Personne, Douglas Harding propose une spiritualité intégrale qui comprend la connaissance (le vrai), la dévotion (le bon), la consécration des oeuvres (le bien) et le goût du beau. L'importance spirituelle de ces principes se retrouve dans toutes les branches du mouvement intégral au sens le plus large (Steve McIntosh, Ken Wilber ou Sri Aurobindo, etc.).
Revenons maintenant au cœur de la polémique lancée par Ross Robertson en rappelant le passage suivant :
"il n'est pas nécessaire...", écrit-il, "de se soucier quoi penser, quoi faire ou que ressentir : l'expression appropriée de la première personne advient, en ce qui concerne le comportement, spontanément.... Quand elles sont vraiment requises, les choses justes sont faites." Cette idée courante à propos de l'éveil - qu'une réponse toujours appropriée à la vie résultera (automatiquement) de l'expérience mystique ou des états non-duels - peut être vraie dans certains cas, mais comme un enseignement au sens général, c'est problématique. A l'époque postmoderne, nous avons découvert que l'interprétation par celui qui éprouve ces états plus élevés - c'est-à-dire comment celui-ci entend les exprimer dans l'action- est toujours dépendante du degré du développement de celui [qui les vit] et est filtrée à travers les nombreux niveaux du conditionnement culturel et historique de celui-ci."

"Once you learn any developpemental scheme, such as SD, a peculiar fact starts to become apparent. You can be listening to somebody who is coming from, say, the multiplistic level (orange altitude), and it is obvious that this person is not thinking of these ideas himself; almost everything he says is completely predictable. He never studied Clare Graves or any other developmentalist, and yet there it is, predictable value after predictable value. He has no idea that is the mouthpiece of this structure, a structure he doesn't even know is there. It almost seems as if it is not he who is speaking, but the orange structure itself that is speaking through him - this vast intersubjectiv network is speaking through him."
Nous traduisons :
" Une fois que vous apprenez n'importe quel schème développemental, tel que la Spirale Dynamique, un fait pariculier commence à devenir apparent. Vous pouvez écouter quelqu'un qui provient du niveau mental de la multiplicité (le mème orange) et il est évident que cette personne ne pense pas par elle-même à ces idées ; La plupart de ce qu'elle dit est tout à fait prédictible. Il n'a jamais étudié Clare Graves ou aucun autre développementaliste et maintenant il y a là valeur prédicitible après valeur prédictible. Il n'a aucune idée que c'est l'expression de cette structure, une structure dont il ne sait mêm pas qu'elle est là. La plupart du temps il semble que ce n'est pas lui qui est en train de parler mais la structure orange elle-même qui est en train de parler à travers lui - cette vaste toile intersubjective est en train de parler à travers lui."
Certes la pensée de Douglas Harding n'exclut absolument pas le déterminisme concernant l'ego qui en tant que tel est un événement de l'univers parmi d'autres. L'ego par contre transcendera de plus en plus un déterminisme subi quand il apercevra l'auto-création de l'univers au sein de la conscience en première personne. En tant que objet et participant de cette auto-création, l'ego hérite alors d'une forme de liberté. Peu importe la mentalité qui s'exprime alors à travers l'ego, dès lors que celui-ci est conscient de l'auto-création dont il l'objet et le participant, il hérite de la liberté de la première personne, il se veut de plus en plus transparent à l'auto-détermination de la conscience. Il y a un principe d'individualisation à la croisée

Par exemple, dans une rencontre, il n'y a pas seulement moi et l'autre, moi constatant que l'autre exprime inconsciemment telle structure de mentalité. En effet du point de vue de la première personne, il y a d'abord deux individualisations au sein d'une seule conscience. L'une n'a pas plus de valeur que l'autre. En ce sens, Douglas écrit dans Vivre sans Tête :
"l'Illumination n'est pas quelque chose qui advient localement à un homme : c'est la Réalité se rencontrant elle même, l'Univers arrivant à se connaître lui-même à travers cet homme. Ce n'est pas que je vois pour vous, mais comme vous, comme tous les êtres. L'Illumination ne ressemble en rien à un acquis personnel ou à une expérience privée ; il est dans sa nature de se répandre dans toutes les directions, de concerner et, d'une manière ou d'une autre, d'aider le monde entier."

Selon nous, le mouvement intégral néo-Wilbérien n'a pas assez de concept et de sens spirituel suffisamment développé pour se garder de dérives niant l'individualisation au-delà de l'ego dans la conscience en Première Personne. Wilber lui-même et de nombreux membres du mouvement intégral évoque l'âme mais elle est vue comme une étape (la deuxième sur le maillage Wilber Combs) et non comme une dimension entière de l'absolu au même titre que l'universel immanent ou la transcendance. L'âme y est parfois vue comme la dimension individuelle qui est le serviteur authentique de l'évolution mais selon nous ce n'est pas seulement un serviteur de l'évolution universelle de la conscience, l'âme est pour nous une dimension essentielle de l'évolution de la conscience ! Le "nous" (le "we") qui revient sans cesse dans Integral Spirituality risque de manquer peut-être d'ouverture intérieure au mystère de l'individualisation multiple de l'absolu qui s'amplifie dans le partage de notre unique et seule vraie nature commune. La communauté des amis de Douglas Harding n'a certes pas d'ambition politique comme en a clairement le mouvement intégral mais est-ce vraiment l'heure d'une politique centrée sur cette unité de l'Être ? En tout cas sans cette sensibilité effective au mystère du Principe d'individualisation qui se révèle en Première Personne toute organisation se voulant spirituelle ne fera que prolonger des jeux de pouvoir entre dominants et dominés. En Première Personne, il n'y a pas de maître et de disciple dans une relation où l'un suit docilement ce que l'autre affirme. En Première Personne, il y a d'abord des gens qui renforcent leur autonomie (dont le mème orange avec la raison est une structure mentale propre à son émergence universelle) et qui peuvent découvrir en eux cet élan individualisateur, même si leur identité n'est qu'une expression partielle et inachevée de cet élan puisque encore mêlée à des mécanismes universels qui la déterminent (dont surtout les structures égocentriques qui reviennent souvent obstruer la vision sans tête).




"Les idées, l'inspiration, la protection, l'aide à chaque instant s'écoulent sans obstruction de leur Source, dont on peut faire l'expérience ici sans en prendre (y penser) conscience.
Paradoxalement, pour être vraiment créatif, pour comprendre vraiment les choses là, il faut avoir conscience d'être un idiot ici, tête vide, "sans la moindre idée", nul."
Nous pouvons essayer de figurer ainsi ce dont il est question :

Ken Wilber se rapproche davantage de ce fait perceptuel (si nous osons ce barbarisme inspiré du "percept" de Deleuze qu'il différencie du concept et du fonctif) lorsqu'il écrit dans Integral Spirituality p.209 :
"Allow it all. Swallow the Kosmos whole. You know that everybody is right. So stop lying about it, and thus move from self to Self. There is room for everything in the Kosmos. Open up and let it all in. Stretch your mind until it breaks open and you need maps no more, and AQAL is a faint memory of a map that helped you find You, and helped I find I-I, and then toss AQAL in the family photo album of that summer when you found God by giving up the search. By geaving up the search and resting in the Searcher, end then you needed maps no more.Not for that. The territory alone will suffice, surely, in the radiance of the timeless Now blinding your ego with your Self, overcoming all difficulties in spiritual seeking by giving up seeking itself, nodding your head in recognition that the great game or play is up, the game of Hide and Seek is over, because you were It and You found out."
Nous traduisons :
"Tout permettre à cela. Absorber le Kosmos entier. Vous savez que tout le monde a raison. Donc cessez de mentir à ce propos et cela conduit du soi au Soi. Il y a de la place pour tout dans le Kosmos. Développer l'ouverture et laisser tout y entrer. Pousser votre esprit jusqu'à ce qu'il se brise ouvert et vous n'aurez plus besoin de cartes, et AQAl sera un vague souvenir d'une carte qui vous aura aidé à vous trouver VOUS, qui aura aidé le JE à trouver JE-JE, et alors mettez AQAL de côté dans l'album photo de famille de cet été où vous trouviez Dieu en abandonnant la recherche. En abandonnant la recherche et en reposant dans le Chercheur, alors vous n'avez plus besoin de carte. Pas pour çà. Le territoire seul suffit, assurément , dans la radiance de ce pur Maintenant san temps aveuglant votre ego avec votre Soi, dépassant toutes les difficultés de la recherche spirituelle en abandonnant la recherche elle-même, inclinant la tête à la recognition que le grand jeu ou la partie est terminé, le jeu de Cache-cache et de Recherche est fini parce que vous êtes Cela et Vous l'avez découvert."
A suivre .....
1 commentaire:
Merci... ça fait quelques temps que j'ai aspiré le site pour l'emporter partout et je ne regrette pas, pas de réel réfèrent et très complet
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