Où en suis-je de mes recherches philosophiques et spirituelles ? Qu'est-ce qui ici et maintenant m'est donné non pas comme une expérience passagère mais comme un état stable de mon champ de conscience ? J'en reviens à approfondir ce que m'a découvert Douglas Edison Harding.
Premièrement ma personnalité ne coïncide pas avec ma conscience. Le champ de la conscience est plus large que celui de ma personne changeante. Voici l'aspect visuel de mon champ de conscience lorsque mon corps y est visible :
L'espace visuel de ma conscience est alors comme une métaphore de mon champ de conscience. La représentation mentale de moi-même est un contenu de ma conscience et n'est pas en tant que tel mon champ de conscience. Dans la formation de mes représentations sensibles ou mentales, le monde et les autres semblant jouer un rôle non négligeable. L'idée que je me fais de mon visage est liée à une image sur le miroir mais surtout est liée à l'idée que s'en font les autres. Mes représentations sont donc influencées par le monde et les autres même si je sens et je suis conscient qu'il y a aussi un lien avec le point de vue individuel de mon champ de conscience. Car ce n'est pas un contenu qui oriente individuellement ce champ d'Ici (voir schéma ci dessus).
Le bord inférieur de l'espace de conscience visible, lorsque je fais tourner ma tête et mon cou sur mon buste délimite une zone des épaules en passant par le milieu du torse qui est ce que Douglas Edison Harding appelle le bord du monde et qu'on voit ici représenté par lui :
De nombreuses traditions spirituelles nomment le cœur une zone qui s'étend un peu en arrière de chaque côté du centre de ce bord du monde visible.
Deuxièmement dans le champ de conscience outre cette orientation individualisée du champ du fait de son lien avec une chaire organique tissée dans l'espace et le temps du monde il y a à l'évidence un endroit par lequel ce champ échappe vraiment à toute orientation individuelle :
Si dans cet aspect visuel du champ de conscience on suit ce pointer du doigt vers le haut, il y a à l'évidence un sommet de la conscience visible qui ne met pas en jeu un Ici à caractère individuel. Si nous étions plusieurs nous pourrions toujours trouver comme un pôle universel et transcendant de la conscience. Si nous étions plusieurs debout pointant le ciel dans notre conscience, le sommet de notre conscience coïnciderait dans l'hémisphère nord avec l'étoile polaire.
Cette description rejoint étonnamment la description taoïste de la conscience qui inclut l'étoile polaire ou encore l'idée cabaliste ou yoguique indienne d'un centre de conscience au delà de la tête qui est aussi une porte d'entrée universelle vers un monde transcendant toute manifestation cosmique de la conscience.
Et de ce monde supraconscient comme je le symbolise dans le dessin ci-contre je peux exceptionnellement distinguer des formations lumineuses qui m'apporte une idée inédite. On peut aussi ressentir une force venant d'en haut et œuvrant dans notre corps-esprit.
Troisièmement, la science me montre que la manifestation de ma conscience est liée à une évolution de l'univers qui s'étire entre l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Ce schéma que j'emprunte aussi à Douglas Edison Harding montre les diverses échelles de l'univers en jeu dans ma manifestation individuelle. Je sens ainsi des forces dans ma conscience liée à mon corps, j'ai des pulsions qui ont surtout plusieurs dimensions. Certaines sont liées à un appétit sexuel, à un appétit de reconnaissance ou à un appétit d'appropriation sur le monde.
La science m'invite par recoupement de diverses observations à voir là des effets du subconscient vital et corporel, résultat de cette évolution de l'univers.
Ainsi il y a dans mon champ de conscience une dimension individuelle plus profonde que ma personnalité changeante, il y a aussi une dimension universelle et transcendante supraconsciente qui se concrétise parfois sous forme d'idées ou de forces intuitives et enfin il y a une dimension cosmique en grande part subconsciente, que je connais indirectement à travers le savoir scientifique et qui agit dans mon champ de conscience à travers par exemple les pulsions émergeant de mon subconscient.
Premièrement ma personnalité ne coïncide pas avec ma conscience. Le champ de la conscience est plus large que celui de ma personne changeante. Voici l'aspect visuel de mon champ de conscience lorsque mon corps y est visible :
L'espace visuel de ma conscience est alors comme une métaphore de mon champ de conscience. La représentation mentale de moi-même est un contenu de ma conscience et n'est pas en tant que tel mon champ de conscience. Dans la formation de mes représentations sensibles ou mentales, le monde et les autres semblant jouer un rôle non négligeable. L'idée que je me fais de mon visage est liée à une image sur le miroir mais surtout est liée à l'idée que s'en font les autres. Mes représentations sont donc influencées par le monde et les autres même si je sens et je suis conscient qu'il y a aussi un lien avec le point de vue individuel de mon champ de conscience. Car ce n'est pas un contenu qui oriente individuellement ce champ d'Ici (voir schéma ci dessus).
Le bord inférieur de l'espace de conscience visible, lorsque je fais tourner ma tête et mon cou sur mon buste délimite une zone des épaules en passant par le milieu du torse qui est ce que Douglas Edison Harding appelle le bord du monde et qu'on voit ici représenté par lui :
De nombreuses traditions spirituelles nomment le cœur une zone qui s'étend un peu en arrière de chaque côté du centre de ce bord du monde visible.
Deuxièmement dans le champ de conscience outre cette orientation individualisée du champ du fait de son lien avec une chaire organique tissée dans l'espace et le temps du monde il y a à l'évidence un endroit par lequel ce champ échappe vraiment à toute orientation individuelle :
Si dans cet aspect visuel du champ de conscience on suit ce pointer du doigt vers le haut, il y a à l'évidence un sommet de la conscience visible qui ne met pas en jeu un Ici à caractère individuel. Si nous étions plusieurs nous pourrions toujours trouver comme un pôle universel et transcendant de la conscience. Si nous étions plusieurs debout pointant le ciel dans notre conscience, le sommet de notre conscience coïnciderait dans l'hémisphère nord avec l'étoile polaire.
Cette description rejoint étonnamment la description taoïste de la conscience qui inclut l'étoile polaire ou encore l'idée cabaliste ou yoguique indienne d'un centre de conscience au delà de la tête qui est aussi une porte d'entrée universelle vers un monde transcendant toute manifestation cosmique de la conscience.
Et de ce monde supraconscient comme je le symbolise dans le dessin ci-contre je peux exceptionnellement distinguer des formations lumineuses qui m'apporte une idée inédite. On peut aussi ressentir une force venant d'en haut et œuvrant dans notre corps-esprit.
Troisièmement, la science me montre que la manifestation de ma conscience est liée à une évolution de l'univers qui s'étire entre l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Ce schéma que j'emprunte aussi à Douglas Edison Harding montre les diverses échelles de l'univers en jeu dans ma manifestation individuelle. Je sens ainsi des forces dans ma conscience liée à mon corps, j'ai des pulsions qui ont surtout plusieurs dimensions. Certaines sont liées à un appétit sexuel, à un appétit de reconnaissance ou à un appétit d'appropriation sur le monde.
La science m'invite par recoupement de diverses observations à voir là des effets du subconscient vital et corporel, résultat de cette évolution de l'univers.
Ainsi il y a dans mon champ de conscience une dimension individuelle plus profonde que ma personnalité changeante, il y a aussi une dimension universelle et transcendante supraconsciente qui se concrétise parfois sous forme d'idées ou de forces intuitives et enfin il y a une dimension cosmique en grande part subconsciente, que je connais indirectement à travers le savoir scientifique et qui agit dans mon champ de conscience à travers par exemple les pulsions émergeant de mon subconscient.
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